Un secteur échappe à la morosité actuelle, celui des biotechs. Les jeunes pousses françaises croissent sur un terreau fertile. En témoigne parmi d’autres le large succès de l’introduction d’Abivax. La société spécialisée dans la découverte de traitements antiviraux a levé 57,7 millions d’euros en juin dernier. C’est à ce jour la plus importante introduction en bourse pour une société en France. Ce mois de juillet s’inscrit dans cette tendance de fond.
BPIfrance et le Leem ont ainsi organisé la première édition des Rencontres internationales de Biotechnologies. Objectif principal, favoriser les rencontres entre start-up et big pharma. 16 sociétés ont été sélectionnées. 85 rencontres B to B ont été organisées l’après-midi. Cet environnement favorable est désormais reconnu à l’étranger. Une biotech britannique a même franchi le Channel pour être cotée à Paris. Au-delà de l’attractivité française, la bonne santé du secteur est saluée dans le rapport annuel réalisé par la société de conseil EY. En 2014, tous les records ont été battus avec une capitalisation boursière de l’industrie des biotechs franchissant le cap des 1 000 milliards de dollars. Les États-Unis mènent la course en tête. Mais l’Europe suit le mouvement. La collecte de fonds sur le Vieux Continent a progressé de 53 % par rapport à 2013 pour atteindre 9,2 milliards de dollars. Ce même mouvement s’observe en matière de fusion-acquisitions. « La performance inédite de l’industrie des biotechs sur un marché relativement mature est un signal très positif », analyse Virginie Levebre-Dutilleul, associé EY. À condition bien sûr que le vent dans les bourses occidentales continue à souffler dans la même direction…
BPIfrance et le Leem ont ainsi organisé la première édition des Rencontres internationales de Biotechnologies. Objectif principal, favoriser les rencontres entre start-up et big pharma. 16 sociétés ont été sélectionnées. 85 rencontres B to B ont été organisées l’après-midi. Cet environnement favorable est désormais reconnu à l’étranger. Une biotech britannique a même franchi le Channel pour être cotée à Paris. Au-delà de l’attractivité française, la bonne santé du secteur est saluée dans le rapport annuel réalisé par la société de conseil EY. En 2014, tous les records ont été battus avec une capitalisation boursière de l’industrie des biotechs franchissant le cap des 1 000 milliards de dollars. Les États-Unis mènent la course en tête. Mais l’Europe suit le mouvement. La collecte de fonds sur le Vieux Continent a progressé de 53 % par rapport à 2013 pour atteindre 9,2 milliards de dollars. Ce même mouvement s’observe en matière de fusion-acquisitions. « La performance inédite de l’industrie des biotechs sur un marché relativement mature est un signal très positif », analyse Virginie Levebre-Dutilleul, associé EY. À condition bien sûr que le vent dans les bourses occidentales continue à souffler dans la même direction…
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