Après l’attaque en règle de l’Académie de médecine contre les médicaments génériques (« Le Quotidien » du 23 février), l’Académie de pharmacie est montée au front pour...défendre ces copies des médicaments princeps. L’Académie de médecine avait estimé que les génériques « ne sont pas la copie conforme de la spécialité princeps », que leurs différentes présentations peuvent « désorienter les malades âgés », et que les changements d’excipients risquent de provoquer « des réactions allergiques plus ou moins sévères ».
Mais l’Académie de pharmacie calme le jeu, jugeant pour sa part que le médicament générique « répond à tous les critères de qualité » et que « la substitution doit être encouragée », même sielle « est parfois délicate ».
L’Académie de pharmacie considère qu’il faudrait rendre obligatoire pour le prescripteur la mention de la DCI sur l’ordonnance, associée (ou pas) au nom de la spécialité prescrite, et limiter les différences d’aspect du médicament générique par rapport au médicament princeps.
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