Selon l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM), le laboratoire américain Orexigen Therapeutics devrait savoir au plus tard « dans un délai de deux à trois mois » si la Commission européenne octroie à son médicament coupe-faim une autorisation de mise sur le marché (AMM).
L’Agence européenne du médicament (EMA) a en effet émis à la mi-décembre un avis favorable à l’octroi d’une autorisation de mise sur le marché du Mysimba, alors que son équivalent français, l’ANSM, s’était prononcée contre, émettant des doutes sur sa sécurité. Sauf surprise, ce nouveau produit devrait donc être commercialisé au printemps prochain. À moins que la France ne s’y oppose sur son territoire, ce qui supposerait une procédure longue à l’issue incertaine.
L’Académie de médecine s’alarme du désengagement des États-Unis en santé
Un patient opéré avant le week-end a un moins bon pronostic
Maladie rénale chronique : des pistes concrètes pour améliorer le dépistage
Covid : les risques de complications sont présents jusqu’à trente mois après hospitalisation