Sur TF1, François Hollande a consacré une petite partie de son allocution à la réforme du financement de la protection sociale, qu’il veut « complète », avant fin 2012 et aux moyens de réduire la dette publique.
Sans surprise, François Hollande a confirmé vouloir modifier l’assiette de financement de la protection sociale. « Est-ce que l’on peut encore admettre que ce soit sur le travail que pèse l’essentiel du financement de la protection sociale ? », a-t-il interrogé. « Je veux faire en sorte que ce ne soient pas les salaires qui soient les seules bases d’application du prélèvement », a-t-il indiqué.
Le chef de l’État a précisé que la hausse de la CSG pourra bien « faire partie » de la discussion, mais que d’autres sources de revenus seront étudiées, « y compris les prélèvements écologiques ».
Évoquant ensuite sa « bataille contre la dette », François Hollande est revenu sur un « chiffre que chacun a encore à l’esprit » : les 33 milliards d’économies préconisées par la Cour des Comptes pour réduire le déficit. Dans son discours, le Président de la République a ramené l’effort national nécessaire à 30 milliards d’euros, un chiffre inférieur à celui des économistes qui, avec une hypothèse de croissance réduite à 0,8 % l’an prochain, tablent plus volontiers sur 35 milliards d’euros.
Des personnalités demandent l'entrée au Panthéon de la psychiatre et résistante Adélaïde Hautval
Sur les réseaux sociaux, le retour en force du culte de la maigreur fait des ravages
Avec le désengagement américain, l’OMS annonce une réorganisation et des licenciements
Vaccination, soutien aux soignants, IVG : le pape François et la santé, un engagement parfois polémique