Dans une lettre ouverte commune, le Syngof et le CNGOF ont dénoncé une dérive inacceptable dans la prise en charge des accouchements par voie basse par les complémentaires santé (1). En effet, depuis 2016 et l’apparition des « contrats responsables », de nombreuses patientes ont vu les remboursements complémentaires de leur accouchement (honoraires, chambre seule…) refusés au motif qu’un accouchement par voie basse n’est pas chirurgical. Pour l’instant, seule la Mutualité française a officiellement banni ces pratiques. Un engagement fort des pouvoirs publics et des complémentaires santé récalcitrantes est attendu sur ce sujet.
Soumission chimique : un plan concret pour les médecins
Leïla Chaouachi, fondatrice du Crafs : « L’affaire Pelicot a provoqué une sidération chez les médecins »
Soumission chimique : les médecins se mobilisent
Accès aux soins : la Défenseure des droits entend démonter les discriminations envers les trans