Avec le temps, une mutation virale pourrait-elle éliminer l’interaction avec la neuropiline-1 et réduire l'infectivité ? « C’est un point intéressant, répondent au « Quotidien » les chercheurs de l'université de Bristol. En cultivant dans certains types de cellules une souche naturelle du SARS-CoV-2, on a pu isoler un mutant qui avait perdu sa capacité à se lier à la neuropiline-1. Cette version du virus possède une pathogénicité atténuée dans des modèles hamsters, provoquant moins de dommages alvéolaires, ce qui suggère que la perte de la capacité à se lier à la neuropiline-1 pourrait rendre le virus moins dangereux. Mais il est encore trop tôt pour spéculer sur le degré d'infectivité de ce virus ou de variants similaires dans les populations humaines ».
Des mutations protectrices avec le temps ?
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Publié le 03/11/2020
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Source : Le Quotidien du médecin
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