Une équipe Inserm/université Lyon Claude Bernard Lyon 1, en collaboration avec l’université de Pennsylvanie, s’est intéressée à un groupe de 103 macaques rhésus (dont les caractéristiques cérébrales sont proches de l’homme). Ils ont observé leurs comportements en milieu naturel pendant plusieurs mois avant d’étudier leur cerveau au scanner. Ils se sont ainsi aperçus que le nombre de compagnons des macaques était prédictif de la taille de certaines zones de leur cerveau, associées notamment à la cognition sociale et l’empathie. En résumé, plus les relations sociales sont nombreuses, plus ces structures sont développées. L’étude suggère aussi que les différences observées chez l’adulte semblent plus fortement déterminées par les environnements sociaux que par les prédispositions innées.
C. Testard et al., Sci Adv, 2022. doi: 10.1126/sciadv.abl5794
La perturbation stromale, nouveau biomarqueur des cancers du sein agressifs
La vaccination anti-HPV au collège est bien acceptée mais l’information doit être renforcée
VIH : les statines recommandées en prévention primaire de l’athérosclérose aux États-Unis
L’ovéporexton, une nouvelle molécule efficace dans la narcolepsie de type 1