L’urgentiste Nicolas Bonnemaison a été renvoyé devant la cour d’assises des Pyrénées-Atlantiques pour l’empoisonnement de sept patients en fin de vie. Le médecin âgé de 53 ans, en poste à Bayonne, avait été mis en examen en août 2011 pour avoir abrégé la vie de patients âgés, par injections létales. Il a bénéficié de non-lieux pour deux cas, selon une information du journal « Sud Ouest ».
En août, le parquet de Bayonne avait requis son renvoi pour huit cas. Au cours de l’instruction, M. Bonnemaison, qui n’a jamais nié les faits, a expliqué avoir agi « avec pleine conscience de la gravité des actes », motivés, selon lui, uniquement par la volonté d’éviter des souffrances extrêmes à ces patients et de respecter leur dignité.
Le ministère lance une stratégie nationale « Intelligence artificielle et données de santé »
Les fongémies liées aux injections de drogues, un tableau clinique particulier
Microbiote : mieux informés, des Français à mobiliser pour la recherche
La dérivation biliaire du bypass gastrique Roux-en-Y protège du cancer colorectal