Les bébés nés après une exposition au virus Zika lors de la grossesse peuvent souffrir de malformations cérébrales congénitales, sans qu'ils ne présentent de signes anatomiques. C'est ce qu'affirment les chercheurs du centre américains pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC), dans un rapport décrivant 13 cas survenus au Brésil.
Ces 13 enfants sont nés avec une tête de taille normale, mais souffraient d'anomalies cérébrales qui ont été détectées au moins 5 mois plus tard. Ces résultats soulignent « l'importance de l'imagerie dans les premiers jours de vie des enfants qui ont été exposés au virus Zika pendant la période prénatale », précise le CDC, qui va présenter ces résultats au congrès de la société de radiologie d'Amérique du Nord cette semaine.
Ces enfants présentaient des anomalies qui ont été identifiées lors d'examens par CT-scan ou par IRM. Dans tous les cas, les examens ont été demandés suite à l'observation de troubles neurologiques.
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