Le 7 janvier, un an après, difficile pour les journalistes que nous sommes de ne pas parler aux soignants que vous êtes d’un convalescent unique en son genre. Un petit hebdomadaire satirique dont les blessures puis la survie ont fait le tour du monde. Malade étrange, résilient sous haute protection, riche (entre autres d’abonnés) après avoir frôlé l’indigence, égal à lui-même mais pour qui rien ne sera jamais plus comme avant, contraint au rire dans sa bulle stérile. Un patient insolent et provocateur, pas toujours évident à traiter, mais aussi fragile et bien seul : Charlie Hebdo.
Survivant
Publié le 07/01/2016
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
K. P.
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : Le Quotidien du Médecin: 9460
L’Académie de médecine s’alarme du désengagement des États-Unis en santé
Un patient opéré avant le week-end a un moins bon pronostic
Maladie rénale chronique : des pistes concrètes pour améliorer le dépistage
Covid : les risques de complications sont présents jusqu’à trente mois après hospitalisation