« Couvrez cette fresque que je ne saurais voir.
Par de pareils objets les âmes sont blessées,
Et cela fait venir de coupables pensées. »
Très léger emprunt à Molière pour s’interroger, en Tartuffe ou pas, sur le sort réservé à la scène d’orgie (ou de viol collectif, c’est selon les points de vue) peinte sur un mur de la salle de garde du CHU de Clermont-Ferrand : on efface tout – et on recommence ?
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