L’année de la chèvre dans laquelle le calendrier lunaire chinois a fait entrer le monde jeudi dernier semble, pour la santé, d’augure mitigé.
Selon certains maîtres asiatiques de l’art oraculaire, « la gentille chèvre », qui succède au cheval impétueux, promet une année bien plus calme notamment dans le champ sanitaire. Ouf ? Pas vraiment, car d’autres devins jugent que, la chèvre n’étant pas assez forte pour « supprimer totalement l’instabilité observée l’an dernier », la planète devrait sanitairement déguster.
D’aucuns annoncent, par exemple, la résurgence du SRAS qui avait fait 800 morts lors de la précédente année caprine, en 2003. « Une grosse explosion de bactéries » est également redoutée, en raison, dit-on, d’une puissante connexion entre le signe de la chèvre et l’élément terrestre parfois associé à la maladie. Avec ou sans fièvre de cheval ?
Pause exceptionnelle de votre newsletter
En cuisine avec le Dr Dominique Dupagne
[VIDÉO] Recette d'été : la chakchouka
Florie Sullerot, présidente de l’Isnar-IMG : « Il y a encore beaucoup de zones de flou dans cette maquette de médecine générale »
Covid : un autre virus et la génétique pourraient expliquer des différences immunitaires, selon une étude publiée dans Nature