Avec un million de patients traités en France, le SAS coûte cher aujourd’hui à la CPAM. D’autant que les masques sont très largement prescrits, bien plus que dans les autres pays européens. Les autorités de santé ont en effet accepté de les prendre en charge largement, et les prestataires de services se sont engouffrés dans la niche.
« L’une des missions de la FST “sommeil” est de promouvoir une prescription de qualité, c’est-à-dire le respect des conditions de dépistage et de prescription. D’autant qu’en pratique un certain nombre de masques restent malheureusement dans les tiroirs, inutilisés », affirme le Pr Jean-Marc Davy (Montpellier).
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