Une bonne nouvelle ne se garde jamais pour soi, surtout si elle concerne deux personnes à la fois : en l’occurrence un journal et son lectorat. Les derniers résultats d’audience – qui sont un peu notre ROSP à nous ! – sont tombés ce mois-ci. Et ils confirment le double attachement des généralistes à la presse médicale et à notre journal. On retiendra d’abord de ce Cessim 2014 que 90 % des médecins de famille lisent les journaux professionnels. C’est la preuve que le secteur remonte plutôt bien au vent malgré le gros temps de ces dernières années. Et c’est un signe positif donné par des professionnels de santé à une presse dont ils ont plus que jamais besoin dans un contexte d’évolutions démographiques, économiques et thérapeutiques intenses.
Votre journal le prend comme un encouragement supplémentaire à toujours mieux vous informer. D’autant qu’avec près de 41 % d’audience moyenne et pas loin de 8 généralistes sur 10 à l’avoir lu dans l’année, Le Généraliste fait toujours la course en tête parmi les hebdos. Il a même amélioré ses scores de l’an dernier et « surfe » 10 à 20 points au-dessus des autres magazines médicaux. Ces résultats nous honorent et, d’une certaine façon, nous obligent. Les généralistes forment un public exigeant, souvent pressé, toujours critique, parfois râleur… Raison de plus pour coller au plus près de vos préoccupations ou de vos combats. Quitte à vous donner la parole à chaque fois que vous avez envie de la prendre dans notre courrier des lecteurs, sur notre site internet ou, comme cette semaine, en jouant les go-between entre vous et les autorités de santé.
Cette proximité, nous la travaillons comme notre atout maître depuis bientôt quatre décennies. Et l’évolution numérique nous a permis de nous rapprocher encore. Dans la boîte aux lettres de nos abonnés tous les vendredis, Le Généraliste est désormais aussi tous les jours sur les boîtes mails des internautes, avec une dimension plus immédiate, plus factuelle et plus interactive sur la Toile, plus synthétique et analytique dans le magazine. Une logique bi-média qui nous permet de toucher davantage de généralistes encore. Et c’est tant mieux. Il faut croire que la qualité de nos contenus n’en a pas pâti, puisque l’une de nos collaboratrices, Florence Rosier, a été récompensée au début du mois par le jury du Prix Éditorial du Syndicat de la presse professionnelle pour un dossier sur le surdiagnostic. Bravo à notre lauréate ! Et merci pour votre fidélité !
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