Après une réunion avec les représentants des médecins urgentistes, la ministre de la Santé a fixé lundi dernier un cap en trois points pour « tirer toutes les leçons des dysfonctionnements révélés par le décès de Naomi Musenga ».
Trois décisions ont été prises : compléter et actualiser toutes les procédures de traitement des appels au 15 ; renforcer et homogénéiser les formations des personnels qui traitent les appels ainsi que des médecins régulateurs ; garantir que tous les services SAMU sont engagés dans une démarche qualité. Les médecins urgentistes rendront des propositions en ce sens d'ici le 1er juillet à la ministre.
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