Notre système informatique national dispose déjà en grande partie des données utilisées dans ce modèle mais, par exemple, si les prescriptions d’examens de laboratoires et autres examens complémentaires sont disponibles, leurs résultats ne le sont pas encore. La réunion sur une seule base de tous les éléments du dossier patient devrait conduire à des avancées notables dans bien des domaines, grâce à la force analytique de puissantes machines capables de traiter des milliards de données.
* Professeur Émérite, Université Grenoble-Alpes