LA RÉUSSITE commerciale de Hyundai peut étonner en pleine période de crise. Mais les faits sont têtus. La part de marché de Hyundai en Europe est passée de 2,8 à 3,6 %, soit 444 000 unités. Hyundai et Kia (4e groupe mondial, avec plus de 7 millions de véhicules produits) ne sont pas rassasiés pour autant : « Nous voulons devenir la marque la plus appréciée de ses clients », claironne Patrick Gourvennec, le directeur général de Hyundai France.
En fait, l’entité Hyundai-Kia aspire à suivre l’exemple de Toyota, qui est parvenu, grâce à la Yaris, assemblée dans le nord de la France, à se bâtir une image de constructeur européen, ce qui est déjà le cas puisque certains modèles des deux marques sœurs sont produits en République tchèque et en Slovaquie.
Depuis le 1er mai, Hyundai ajoute un volet social inattendu à sa stratégie en proposant une assurance perte d’emploi, intégrée au contrat de vente de ses véhicules. Cette assurance soumise à une franchise d’un mois est applicable en cas de chômage certifié dans les douze mois suivant l’achat du véhicule, même si celui-ci a été payé comptant. Le montant de l’indemnité versé est de 300 euros par mois. Cette assurance inclut, en sus, cinq séances de « coaching » pour aider le chômeur à se réinsérer dans le monde du travail.
Le constructeur coréen vient de compléter sa gamme i30 avec une trois portes et va lancer de nouveaux modèles, dont la nouvelle i10, attendue pour la rentrée.
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