Paris-Île-de-France
À Paris, au Musée d’Art moderne de la Ville de Paris, jusqu’au 28 août, arts moderne et contemporain, « un acte de mémoire » pour Eugène Leroy (1910-2000), avec la disparition du sujet par un travail d’empâtement. Au Musée de Montmartre, jusqu'au 11 septembre, Charles Camoin, un fauve en liberté avec « un amour exclusif de la couleur ». Au Palais de Tokyo, jusqu’au 24 septembre, 14 artistes internationaux pour qui « la Terre est un écheveau de relations entre les minéraux, les plantes, les animaux et les humains ». À la Bourse du commerce, jusqu’au 2 janvier, « Une seconde d’éternité », l’expérience du temps pour 20 artistes de la collection Pinault, aux côtés de Félix Gonzalez-Torres et Roni Horn. À la Fondation Giacometti, jusqu’au 18 septembre, les femmes debout évoquent des arbres et les têtes des pierres. À la Fondation Henri Cartier-Bresson, jusqu’au 25 septembre, « L’expérience du paysage », une leçon de construction par le regard du maître. À la Maison européenne de la photographie, jusqu'au 21 août, « Love Songs », l’intimité des relations amoureuses vue par 14 photographes internationaux. À l’Hôtel de la Marine, jusqu’au 2 octobre, arts anciens, la collection de Calouste Gulbankian qui dialogue avec celle d’Al Thani dans le cadre de la saison France-Portugal. À l’Institut du Monde Arabe, jusqu'au 2 octobre, « l’horizon de Khéops », un voyage en réalité virtuelle en Égypte ancienne. Au musée du quai Branly, jusqu’au 25 septembre, l'art des massues du Pacifique, des sculptures plus cérémonielles que guerrières.
Au musée Camille Claudel de Nogent-sur-Seine, jusqu'au 26 septembre, Fabienne Verdier dialogue avec l’histoire du vitrail champenois du XVIe siècle. Au château de Chantilly, jusqu'au 2 octobre, dessins et gravures de l’allemand Albrecht Dürer (1471-1528) au cœur de la Renaissance européenne.
Du Nord à la Loire
À la Piscine de Roubaix, jusqu'au 4 septembre, Robert Lotiron (1886-1966), une poésie du quotidien dans l’art figuratif de l’entre-deux-guerres. Au LaM à Villeneuve d’Asq, jusqu’au 21 août, Annette Messager troque la réalité pour la fiction, car malgré les apparences, nous faisons tous « Comme si ». À Lille, au Tripostal, jusqu’au 2 octobre, les Vivants, 250 photos de la Fondation Cartier pour l’art contemporain. Au Centre Pompidou-Metz, jusqu'au 14 novembre, le musée sentimental et expressif de la sculptrice textile suisse Eva Aeppli.
À Rouen, au musée des Beaux-Arts, jusqu'au 6 novembre, « Nadja, un itinéraire surréaliste », autour du livre d’André Breton rédigé en 1927 après sa rencontre avec Leona Delcourt, qui elle aussi a écrit son cahier. À Caen, au musée des Beaux-Arts, jusqu'au 4 octobre, Théodule Ribot (1839-1916), « une délicieuse obscurité » et une austérité au service des traditions populaires et des gens simples. Au musée de Pont-Aven, jusqu'au 31 décembre, la Bretagne travailleuse et pieuse de Mathurin Méheut (1882-1958). Au Fonds Hélène & Édouard Leclerc à Landerneau, jusqu’au 15 janvier, les dessins d’un pionnier de l’art urbain, Ernest Pignon-Ernest, qui nous alerte sur l’état du monde avec passion et poésie. Pour sa 11e édition, jusqu'au 2 octobre, le Voyage à Nantes investit de nouveaux quartiers pour « interpréter la ville d’une façon singulière et sensible ». Au Château de Tours, jusqu’au 30 octobre, Frank Horvat, reporter et photographe de mode.
Dans le Sud
À Nice, au musée Matisse, jusqu'au 18 septembre, David Hockney, coloriste et grand admirateur du maître des lieux ; au MAMAC, jusqu'au 2 octobre, Vita Nuova, la scène artistique italienne des années 1960 ; et au Musée Chagall, jusqu’au 9 janvier, livres en éditions limitées, les inventions du maître pour marier texte et image avec des estampes originales. À Saint-Paul-de-Vence, à la Fondation Maeght, jusqu’au 20 novembre, « Au cœur de l'abstraction », celle des années 1950-1980, avec la collection de la Fondation Gandur.
À Aix-en-Provence, à l'Hôtel de Caumont, jusqu'au 18 septembre, « Raoul Dufy, L'ivresse de la couleur », impressionniste puis fauve, admirateur de Cézanne et de la Provence ; au musée Granet, jusqu’au 2 octobre, les artistes allemands à Rome au XIXe siècle, des œuvres en provenance de la Neue Pinakothek de Munich. À Marseille, au Mucem, jusqu'au 17 octobre, « Pharaon superstar », pour vérifier que la notoriété est éphémère et pas toujours fondée sur la réalité. En Arles pour la 53e édition des Rencontres photographiques, jusqu'au 25 septembre, l’humain et la nature solidaire avec 40 expositions et 160 artistes, dont Bruno Serralongue ; dans la nécropole romaine des Alyscamps, jusqu’au 29 septembre, « Nouvelle Fondation », du Coréen minimaliste Lee Ufan, qui dialogue avec les sarcophages ; au musée Réattu, jusqu’au 2 octobre, le Périzonium, pagne de pudeur du Christ, vu par la photographe Jacqueline Salmon. À Nîmes, au musée de la Romanité, jusqu’au 23 octobre, la civilisation raffinée des Étrusques, leur commerce en Méditerranée, leurs rituels. À Montpellier, au musée Fabre, jusqu'au 4 septembre, une carrière italienne pour le peintre Louis Gauffier (1762-1801), néoclassique et préromantique. À Rodez, au musée Soulages, jusqu'au 6 novembre, « Fernand Léger, la vie à bras-le-corps », autour de la ville, du travail et des loisirs.
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