À Paris, au Petit Palais, Ambroise Vollard (1866-1939), éditeur d’estampes et de livres illustrés de Bonnard, Picasso, Maillol, Redon, Chagall, lui qui avait soutenu Cézanne, Gauguin… (jusqu'au 29 août). L’inspiration égyptienne de Giacometti, dans sa Fondation, un dialogue à la source de l’art moderne (jusqu'au 10 octobre). Au musée de la Vie romantique, la mer dans sa démesure, reflet de l’âme des peintres romantiques, Joseph Vernet, Théodore Géricault, Théodore Gudin, Eugène Isabey, Eugène Boudin, Gustave Courbet (jusqu'au 12 septembre). Le Paris de Raoul Dufy (1877-1953), légèreté et couleur, au musée de Montmartre, son quartier d’adoption, et les dix lithographies de « la Fée Électricité » de l’Exposition internationale de 1937 (jusqu'au 12 septembre). L’Allemande Anne Imhof au Palais de Tokyo avec une trentaine d’artistes invités, une œuvre totale et polyphonique qui associe l’espace, les corps, la musique et la peinture (jusqu'au 24 octobre).
À Yerres, au musée Caillebotte, les post-impressionnistes, Moret, Maufra, Loiseau, G. d’Espagnat et André, la troisième génération de peintres pris en charge par Paul Durand-Ruel, après « la belle école de 1830 » et les impressionnistes (jusqu'au 24 octobre). Henri Moret (1856-1913), influencé par Gauguin et l’école de Pont-Aven, est aussi exposé au musée des Beaux-Arts de Quimper (jusqu'au 4 octobre).
À Giverny, au musée des Impressionnismes, les jardins vus par les impressionnistes, Monet, Renoir, et les Nabis, Vuillard, Bonnard, Denis, Vallotton (jusqu'au 1er novembre). Rendez-vous annuel de l'été au Havre avec 20 artistes qui installent leurs œuvres dans la ville, alors que le MuMa accueille le photographe Philippe De Gobert, qui associe les photos de la ville reconstruite par Auguste Perret à celles de ses propres maquettes, évoquant ainsi un Havre imaginaire (jusqu'au 7 novembre).
À Roubaix, à la Piscine, le sculpteur Art déco Joseph Bernard (1866-1931) en quête de pureté et d’harmonie avec un retour au classicisme antique et à la taille directe (jusqu'au 5 septembre). Le dépouillement en couleurs de l’Italien Georgio Griffa à Villeneuve-d'Ascq, au LaM, dans la tradition de l’Arte Povera et du mouvement Supports/Surfaces (jusqu'au 28 novembre). Les portraits à l’honneur, avec au Centre Pompidou-Metz ceux d’Arcimboldo (1526-1593), faits de fleurs, de fruits, de légumes, revus par 130 artistes contemporains (jusqu'au 22 novembre), et « Chagall. le passeur de lumière » (jusqu'au 30 août) ; et à Colmar, au musée Unterlinden, ceux du Chinois Yan Pei-Ming qui dialoguent avec le Retable d'Issenheim (jusqu'au 11 octobre).
Au musée d'Art moderne et contemporain de Saint-Étienne, l’Émirati Hassan Sharif, pionnier de l’art conceptuel au Moyen-Orient, jusqu'au 26 septembre, et « Déjà vu. Le design dans notre quotidien », jusqu'au 22 août (mamc.saint-etienne.fr). À Évian, au Palais Lumière, Alain Le Foll, un des grands dessinateurs publicitaires des années 1960-1970, avec ses formes fantastiques (jusqu'au 2 janvier). Au Monastère royal de Brou, à Bourg-en-Bresse, Suzanne Valadon et ses contemporaines, Camille Claudel, Marie Laurencin, Sonia Delaunay (jusqu'au 5 septembre).
À Aix-en-Provence, 70 ans d’espace de couleur et de lumière de Zao Wou-Ki (1920-2013) à l'Hôtel de Caumont (jusqu'au 10 octobre) et retour vers l’antique au musée Granet avec l’intégralité de la riche collection égyptienne (jusqu'au 26 septembre). À Nîmes, au musée de la Romanité, Auguste, le premier empereur romain, homme de paix, intermédiaire entre le peuple et les dieux (jusqu'au 19 septembre). À l’occasion des Rencontres de la photographie d’Arles, avec un focus sur les questions de genres et d’identités (jusqu'au 26 septembre), ouverture de la Fondation Luma pour la création contemporaine, dans le nouveau bâtiment de Frank Gehry.
C’est de Marseille que les surréalistes français, André Breton, Victor Brauner, André Masson..., sont partis pour les États-Unis en 1940. Leur influence sur ce mouvement outre-Atlantique et sur les expressionnistes abstraits Barnett Newman, Jackson Pollock, Mark Rothko à mesurer à la Vieille Charité (jusqu'au 19 septembre). Au Mucem, l’artiste américain Jeff Koons confronté avec la collection des arts populaires du musée (jusqu'au 18 octobre). À Nice, au MAMAC, la contribution essentielle des femmes à l’histoire du POP (jusqu'au 29 août, mamac-nice.org), et au musée Matisse, Pierre Matisse, qui expose pendant 50 ans à New York l’art moderne européen, son père Henri Matisse et Miro, Giacometti, Dubuffet, Chagall… (jusqu'au 30 septembre). À Montpellier, au musée Fabre, les nouvelles techniques picturales de Pierrette Bloch, André-Pierre Arnal et Stéphane Bordarier, qui renouvellent la matérialité de la peinture (jusqu'au 29 août).
Année britannique à Bordeaux, avec à la Galerie des Beaux-Arts « Absolutely Bizarre ! », l’École de Bristol du XIXe siècle, reflet des transformations sociales, pittoresque et peinture fantastique (jusqu'au 17 octobre). À Nantes, au musée d'Arts, l'hypnotisme en peinture, la transmission de l'émotion sous état modifié de conscience (jusqu'au 29 août,). Au Mans, au musée de Tessé, Marie Raymond (1908-1989), figure de l’abstraction dans l’après-guerre, entourée de ses amis Soulage, Hartung, Poliakoff, de Staël, et de la génération de son fils Yves Klein, qui fonde en 1960 les Nouveaux Réalistes (jusqu'au 19 septembre). À Angoulême, à la Cité internationale de la bande dessinée et de l'image, 60 auteurs africains de BD qui associent l’héritage franco-belge, l’influence du manga et celle des jeux vidéo (jusqu'au 26 septembre) et les relations de Picasso avec la BD (jusqu'au 2 janvier).
DJ et médecin, Vincent Attalin a électrisé le passage de la flamme olympique à Montpellier
Spécial Vacances d’été
À bicyclette, en avant toute
Traditions carabines et crise de l’hôpital : une jeune radiologue se raconte dans un récit illustré
Une chirurgienne aux nombreux secrets victime d’un « homejacking » dans une mini-série