Le 20e roman de Guillaume Musso, « Angélique », qui commence dans les rues de Paris pendant la pandémie et s’achève dans la Sérénissime, est moins une enquête policière menée par un flic à la retraite qu’une recherche menée par les personnages sur eux-mêmes à travers leurs souvenirs et leurs secrets. L’auteur explore la complexité de l’âme humaine à travers le thème du ressentiment, de ne pas être à sa place ou d’accomplir la vie que l’on pensait mériter. (Calmann-Lévy, 309 p., 21,90 €)
Loin des fourmis et des chats, Bernard Werber, dans « la Diagonale des reines », parle de géopolitique. Les reines sont deux génies des échecs. L’une dirigea les services secrets pour les Américains et l’autre pour les Russes. L’une croit en la force du groupe, l’autre en l’individualisme. Elles ont en commun l’envie de se détruire mutuellement et d'utiliser les hommes comme des pions. (Albin Michel, 455 p., 22,90 €)
DJ et médecin, Vincent Attalin a électrisé le passage de la flamme olympique à Montpellier
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Traditions carabines et crise de l’hôpital : une jeune radiologue se raconte dans un récit illustré
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