Un netbook solaire
Pour Samsung, demain c’est déjà aujourd’hui, au moins pour son NC215S, un netbook (conçu sur la base du NC210) qui intègre un panneau solaire au dos de l’écran. Ce panneau solaire permettrait de disposer d’une heure d’autonomie pour deux heures d’exposition au soleil. Il ne s’agit pour l’instant que d’une source d’énergie d’appoint qui complète une batterie 6 cellules. L’appareil est déjà proposé au prix de 340 euros.
Un écran pliable
Les écrans souples ne sont pas les seules perspectives d’avenir. La firme coréenne vient de présenter un modèle à affichage rigide mais pliable. Il est composé de deux parties, protégées par une surface vitrée très fine et fixées sur un matériau « hyperélastique » qui se déforme, en s’étendant, au niveau du pli. Le rayon de courbure ne serait que de 1 millimètre. Quand l’écran est déplié, les parties sont presque jointives, et, une fois l’afficheur plié, elles viennent pratiquement s’appliquer l’une sur l’autre. Samsung prévoit que l’on pourra plier l’écran 100 000 fois sans dommage et annonce une durée de vie de cinq ans, au cours de laquelle la luminosité va légèrement diminuer, de 6 %. Pour l’instant, aucune commercialisation n’est prévue.
Un T-Shirt qui va faire du bruit
L’opérateur téléphonique Orange et le groupe spécialisé en énergies renouvelables GotWind viennent de présenter des T-shirts capables de charger des téléphones portables grâce à l’énergie solaire. Équipés de film piézoélectrique de la taille d’une feuille de papier A4, ces T-shirts, baptisés Sound Charge, embarquent un système qui amplifie et capte le bruit ambiant. L’énergie sonore véhiculée par le bruit exerce une pression qui sera ensuite convertie en énergie électrique et stockée dans une batterie. Il ne reste plus qu’à brancher son téléphone portable. Selon ses concepteurs, un T-shirt placé ans un endroit où le son est supérieur à 80 dB est capable de générer 6 Wh en deux jours, de quoi charger deux téléphones portables ordinaires ou un smartphone. En cours de développement.
Homme vole !
Selon le Néo-Zélandais Glenn Martin, son Martin Jet pack, un engin qui ressemble à un sac à dos (115 kg au bas mot) et permet de s’élever à plus de 1 500 mètres du sol, sera commercialisé dans un an et demi. Conçu pour décoller et atterrir à la verticale, l’appareil est en fibre de carbone. Un moteur de 4 cylindres développant 200 chevaux entraîne deux grosses hélices entourées de carénages. Le réacteur dorsal repose verticalement sur son train d’atterrissage (rétractable) et le pilote s’accroche sur lui, restant en position debout. En cas de panne moteur, un parachute s’ouvre et ramène le tout sur la terre ferme. D’après son concepteur, le Martin Jetpack peut voler 30 minutes et parcourir 50 kilomètres. Il ne reste plus qu’à attendre 2012, la fin des essais et débourser quelque 69 000 euros pour se payer des émotions en hélico perso !
Les écrans Qled dans les starting-blocks
Après les Led (Light Emitting Diodes) et les Oled (Organic Leds), voici les Qled (avec un Q pour Quantum), une nouvelle génération d’écrans qui utilise des « boîtes quantiques » pour allumer les pixels. Ces minuscules nanoparticules inorganiques émettent de la lumière lorsqu’elles sont excitées, sur une bande de longueurs d’onde – donc une couleur – très précise, qui dépend de la taille de la nanoparticule. Ces boîtes quantiques peuvent donc servir à réaliser un afficheur. Supérieures aux Led, puisqu’elles ne nécessitent pas de filtres colorés ni de fond lumineux, elles se distinguent, selon la société américaine QD Vision, qui vient de présenter un prototype abouti de 4 pouces de diagonale (environ 10 cm), par une consommation électrique moindre que les Oled, des couleurs plus saturées, une facilité de réalisation d’écrans souples et un coût de fabrication plus faible.
Une machine à laver connectée
Le terme de machine à laver semble bien dépassé, pour un appareil de lavage connecté, alimenté par un processeur ARM, fonctionnant sous iOS ou Android. Moshi Matic se contrôle à distance : on peut régler le programme et la température à partir de son portable, l’appareil est équipé de capsules de savon, pour une optimisation des quantités à utiliser et, si la réserve de capsules est épuisée, Moshi Matic peut en commander ; vous recevrez un message de confirmation sur votre portable. Son concepteur s’appelle Guillaume Guyader.
DJ et médecin, Vincent Attalin a électrisé le passage de la flamme olympique à Montpellier
Spécial Vacances d’été
À bicyclette, en avant toute
Traditions carabines et crise de l’hôpital : une jeune radiologue se raconte dans un récit illustré
Une chirurgienne aux nombreux secrets victime d’un « homejacking » dans une mini-série