De l’autre côté du Rhin, Bulli – c’est son surnom – est une idole au même titre que la Golf et la Cox. En 65 ans de bons et loyaux services, il a conquis le cœur de 12 millions de fans, dont celui de l’ancien Premier ministre Jean-Marc Ayrault. Bulli est universel, intemporel, éclectique. Ambassadeur itinérant de Volkswagen, il défie les modes sans jamais lasser.
Il refait surface sous l’appellation T6 (6e génération), équipé de la même plateforme que le T5 mais doté d’une nouvelle face avant, d’une planche de bord entièrement repensée et armé d’équipements d’agrément et de sécurité dignes de ceux offerts sur une berline haut de gamme. En prime, il offre une transmission 4 Motion et se pare d’une livrée bicolore, rouge et crème, celle qu’il portait à l’origine.
Bulli a le chic pour se faire aimer. Sa façon de flirter avec le monde de l’utilitaire lui vaut quelques railleries. Il reste droit dans ses bottes. Or, c’est précisément son museau de bouledogue et son physique de déménageur de pianos qui plaisent. Cherchez-lui un rival, vous n’en trouverez pas. Bulli est unique. Inégalable et inégalé. C’est ce qui fait sa force. Confortable, spacieux, modulable en salon comme l’Espace des années 1980, il est, modernité oblige, respectueux de l’environnement grâce à sa technologie Blue Motion, son système de récupération d’énergie et son stop/start. En combinant les différentes carrosseries, les moteurs (5 diesel et 2 essence), les boîtes (manuelle 5 ou 6, DSG 6 ou 7) et les empattements, on obtient 500 versions possibles. Qui dit mieux ? Comme on dit à la SNCF, un Bulli peut en cacher un autre. Alors, bonne pioche !
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