L’ADAM, baptisée ainsi en hommage au père fondateur de la marque, n’est pas la moins extravertie. Rondeurs appétissantes, présentation soignée, effets de style, moteurs essence dynamiques (le Diesel est proscrit), elle inspire la joie et la bonne humeur.
Pour mieux séduire Madame, et pourquoi pas Monsieur, elle décline trois packs d’options, douze teintes, trois couleurs de toit, quatre tailles de roues (15 à 18 pouces), quatre ambiances intérieures, 15 revêtements de siège, 19 décors pour la planche de bord et les contre-portes, des bandes décoratives à diodes, des décors rétro éclairés, six ciels de pavillon, des jantes avec rappel de couleur, ainsi que des clés de contact de couleur assortie à la carrosserie !
Slam la sportive, Glam la bourgeoise raffinée et Jam, la plus branchée du lot, vous tendent les bras. Mais attention, ces « babioles » qui contribuent à la rendre encore plus sexy, font monter les enchères. Pour sa petite princesse, Opel a carrément cassé sa tirelire. Coût de l’investissement : 190 millions d’euros. Assemblée à Eisenach (Allemagne), l’Adam offre, de série, l’ESP, l’aide au démarrage en côte, le mode City, qui augmente l’assistance de la direction (pratique en ville), la banquette arrière rabattable 50/50, une roue de secours « galette », la radio, mais pas la climatisation manuelle. Le Park Assist avec détecteur d’angle mort, le volant chauffant, le porte-vélos (deux maximum) figurent au catalogue des options.
Agile, sécurisante, l’Adam communique évidemment avec le monde extérieur. Hélas, le système d’info-divertissement, Intellilink, avec écran tactile, ne fonctionne que relié à un Smart Phone. Et ceux qui n’en possèdent pas, ils font comment ?
À déguster sans modération
Quant au Mokka, c’est une première. Et ce ne sera pas une dernière puisqu’il donnera naissance dans quelques mois au Chevrolet Trax. Ce genre de cousinage est devenu monnaie courante dans le monde de l’automobile. Mokka-Trax, même combat ? Au plan du comportement, sans aucun doute. Mais pas en termes de style… et de prix.
Râblé, musculeux, le Mokka inspire la sérénité jusque dans ses flancs creusés et sa face avant. Sur route, sa suspension bien étudiée offre un excellent confort aux passagers, y compris ceux installés à l’arrière. Seul hic, le bruit émis par le 1,7 l Diesel, qui commence il est vrai à dater.
Cette générosité s’exprime aussi à travers le volume du coffre modulable 1/3-2/3 et les rangements, au nombre de 19. Véhicule de loisirs par excellence, le Mokka permet de transporter un vélo, deux supplémentaires dans la limite de 60 kg, grâce à l’astucieux système Flex Fix, inclinable pour plus de praticité.
Accessible en prix, le Mokka a plus d’un tour dans son sac à malices. Un choix de packs (visibilité, technologie), d’options (toit ouvrant électrique inclinant et coulissant, support pour vélos Flex Fix, phares adaptatifs, etc.) ainsi qu’une gamme d’accessoires permettent d’améliorer l’ordinaire. Les tarifs pratiqués sont malheureusement assez élevés. Ainsi, il faut débourser 1 000 euros pour les phares adaptatifs bixénon avec assistance de feux de route à neuf lois d’éclairage et 400 euros pour l’Opel Eye, qui reconnaît les panneaux de signalisation, indique les distances et avertit des changements de file inopportuns.
Décliné en trois niveaux de finition, Edition, Cosmo et Cosmo Pack, le Mokka n’offense toutefois pas la morale en matière d’équipements, puisque la dotation de base inclut l’aide au démarrage en côte et en descente, la climatisation manuelle, les vitres arrière électriques, les rétros électriques et dégivrants, 8 Airbag, le contrôle de la trajectoire, la radio CD MP3 ainsi que les jantes 18 pouces.
Comme tout bon SUV qui se respecte, il est livrable en deux ou quatre roues motrices avec un système faisant varier le couple en fonction de l’adhérence.
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