Les SUV ont porté la première estocade. Désormais, c’est au tour des ludospaces de titiller les monospaces. Le Kangoo combispace troisième génération s’est fixé un objectif : offrir des prestations quasiment similaires à celles d’un Scenic. Il y parvient presque.
Allongé de 18 cm (4,49 m), équipé de deux portes coulissantes de série, de barres de toit à géométrie variable, il vise une clientèle familiale. En dépit des soins esthétiques dont il bénéficie, il a pourtant du mal à masquer ses origines utilitaires. On en veut pour preuve son imposant hayon dépourvu d’une vitre ouvrable séparément. Deux portes battantes (option) sont prévues dans le futur.
En finition Intens, moteur 130 ch essence ou diesel 95 ch, un peu poussif, les tarifs avoisinent les 28 000 €. Pas donné. En ajoutant le dossier de siège avant rabattable qui permet de disposer d’une longueur de chargement de 2,70 m et d’autres babioles, la facture devient vite indigeste.
Sur le plan des aides à la conduite, de la qualité perçue, du confort de roulage, de l’aménagement intérieur, des rangements (boîte à gants tiroir) et du volume de coffre (775 l, 1 200 l et 3 500 l en configuration deux places), le Kangoo se montre à son avantage. L’absence d’un toit panoramique, présent sur le Berlingo et le Rifter, fait toutefois défaut.
Vendu à 4,2 millions d'exemplaires depuis son lancement en 1997, le Kangoo sera décliné en version longue, avec un diesel plus puissant, puis en électrique l’an prochain.
Les prix :
– 100 ch et 130 ch essence : 24 900 et 27,90 €.
– Diesel 95 ch : 25 900 et 27 400,00 €.
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