Plus longue de 9 cm, conçue sur la même plateforme que la Passat (empattement + 5 cm), plus courte que la Phaéton (20 cm), l’Arteon lance un défi à sa cousine, l’Audi A5 Sportback, et plus encore à la BMW Série 4 Grand Coupé.
Elle offre surtout à Volkswagen l’occasion de surfer sur la vague Premium. Profilée comme un avion de chasse, l’Arteon place le curseur à niveau élevé en termes de motorisations, tout en déclinant un contenu technologique qui la fait dériver doucement vers la voiture autonome. Concrétisation de cette évolution, le système Emergency Assist lui permet de rejoindre la voie de droite en cas de dérive ou d’éviter une collision frontale avec un véhicule venant en sens inverse qui aurait tendance à empiéter sur le milieu de la route. Garante de la sécurité de ses occupants, elle est en outre capable d’adapter sa vitesse à l’amorce d’un rond-point grâce au jeu subtil d’une caméra embarquée et du GPS.
Équipée de feux directionnels à LED 3D, de série sur la version R Line, l’Arteon magnifie la conduite dans une ambiance feutrée, en offrant au passage un volume de coffre généreux (de 563 à 1 557 litres). Le dessin très linéaire de la planche de bord, un peu fade à notre goût, est peut-être le seul grief que l’on puisse formuler à son encontre. Pour le reste, l’Arteon est un pur régal.
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