Considérés comme le modèle phare des intra-auriculaires sans fil depuis leur lancement à la fin de 2016, les AirPods 2019, sans avoir changé d’apparence, apportent des améliorations subtiles, qu’ils partagent en partie – et sans surprise, puisque Beats est désormais dans le giron d’Apple – avec les Powerbeats Pro.
Équipés de la nouvelle puce H1 conçue par Apple, les deux « True Wireless » bénéficient d’une connexion plus rapide et plus stable en Bluetooth (jusqu’à 2 fois plus rapide pour passer d’un appareil actif à l’autre, 1,5 fois plus rapide pour les appels téléphoniques et une attente réduite de 30 % pour les jeux vidéo) et de l’activation vocale de Siri directement sur les écouteurs, sans interaction physique préalable, ni avec l’appareil source ni avec les écouteurs.
Les différences : autonomie et recharge. Les AirPods sont restés à 5 heures d’écoute mais sont passés de 2 à 3 heures en conversation, tandis que Beats annonce 9 heures d’autonomie pour ses écouteurs. Les deux modèles assurent chacun 24 heures d’utilisation cumulée en se rechargeant dans leur boîtier. Mais alors qu’il faut passer obligatoirement par un câble Lightning pour recharger le boîtier des Powerbeats Pro, il suffit de placer le boîtier des AirPods sur une station de charge compatible QI pour qu’il se recharge. Les Powerbeats Pro gagnent ainsi jusqu’à 4 heures et demie d’autonomie supplémentaire et les AirPods jusqu’à 3 heures d’écoute et 2 heures de conversation, en seulement 15 minutes.
Le progrès a un prix puisqu’il en coûte 229 € pour acheter les AirPods avec ce nouveau boîtier et 179 € lorsque les écouteurs sont livrés avec l’ancien boîtier, uniquement rechargeable via Lightning (on peut aussi continuer d’utiliser ses AirPods de première génération et acheter le boîtier QI contre 89 €).
Les Powerbeats Pro, disponibles en mai, seront facturés à 249,95 €. À leur crédit, le fait d'être également compatibles avec les appareils Android. Et comme ils sont destinés aux sportifs, ils sont conçus pour s'accrocher fermement sur le contour des oreilles et ils sont résistants à l’eau et à la transpiration.
Moins chers
De leur côté, les Galaxy Buds de Samsung se distinguent par leur design, leur légèreté et leur bon maintien dans l’oreille grâce aux trois paires (de différentes tailles) d’embouts et de stabilisateurs en silicone fournis.
Ils sont également vendus avec un étui de rangement qui fait office de boîtier de chargement et peuvent ainsi faire le plein d’énergie sur un chargeur à la norme QI (non fourni à l’achat) ou relié à un câble USB-C, ou encore en posant l’étui sur le dos d’un smartphone Galaxy S10 par le biais de la charge inversée.
Côté autonomie, ils ne sont pas en reste, avec 6 heures d’écoute pour une charge. Mais le boîtier n’assure qu’une charge et demie supplémentaire (pour atteindre au maximum 17 heures), contre 4 pour celui des AirPods.
Si les Galaxy Buds se connectent sans problème à un iPhone en Bluetooth 5.0, l’application Galaxy Wearable de Samsung, qui améliore effectivement l'usage des écouteurs (cinq réglages d’égaliseur, possibilités d'activer ou d'étouffer le son environnant, de personnaliser le pavé tactile, de localiser les écouteurs, etc.) n'est malheureusement disponible que sur Android. Ce dont il faut tenir compte avant de débourser 149 €.
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