Les nouvelles tendances du shopping

* Le bois comme matériau

Si l’érable est un arbre du genre Acer, c’est la toute jeune société française Orée – dont tous les produits sont écoconçus, fabriqués et finis à la main dans un atelier en Languedoc Roussillon – qui

propose un bijou de clavier sans fil en bois massif (érable ou noyer), compatible avec toutes les tablettes, smartphones et PC équipés de Bluetooth. Cette commercialisation, qui s’inscrit dans la tendance mondiale de revisiter l’électronique avec des nouveaux objets connectés personnels et durables made in France et dans des matériaux nobles et écologiques, est la consécration de nombreuses récompenses déjà obtenues de par le monde. Chaque clavier Orée est unique et personnel grâce aux différentes options de gravure : l’utilisateur peut choisir entre 3 polices d’écriture pour les touches, ajouter un texte personnel sur le clavier, ou encore opter pour une des deux créations graphiques proposées. En vente sur www.oreedesign.com au prix de 125 euros.

* Shopping interactif et connecté

L’accro au shopping a de beaux jours devant elle – ou lui –, qui voit de plus en plus de passerelles ludiques se créer entre les mondes online et offline, dans le but de réduire le fossé qui existe entre les expériences de shopping e-commerce et les achats dans les magasins physiques. Après Diesel, Sportsgirl, John Lewis, Morgan ou Lorna Jane, qui ont déjà testé des systèmes permettant entre autres de se prendre en photo pour demander et recevoir l’avis de leurs ami(e)s via Facebook, c’est le groupe de prêt-à-porter français Kiabi qui s’est distingué cette rentrée en offrant à ses clients de se connecter à leur profil Facebook grâce à une borne tactile située à l’entrée du magasin, afin de « liker » et partager une quinzaine de silhouettes lookées disséminées dans le magasin.

De son côté, eBay (105 millions d’utilisateurs actifs et près de 25 millions de vendeurs, 9 millions de visiteurs uniques par mois et 15 millions de membres inscrits en France) s’est aussi inspirée des réseaux sociaux pour la nouvelle version de son site, destinée à recréer un peu du plaisir du lèche-vitrines, voire de réintroduire « l’émotion et l’excitation de la découverte » sur Internet. C’est ainsi que les visiteurs vont être accueillis par un « feed » regroupant des photos de produits sélectionnés en fonction des articles déjà achetés, recherchés ou regardés et vendus sur le site.

*Le stylo comme arme IT

Acheter un stylo n’est plus une action démodée ni un acte banal. Exemples. On peut, grâce au stylo numérique et à la reconnaissance d’écriture, enregistrer ses notes manuscrites et les convertir en texte modifiable. On écrit au stylo ou on fait un schéma sur un bloc-notes lors d’une réunion, puis on retrouve son texte tapé, ou ses dessins, dans un document de type Word.

E-pens Digipad Deluxe, le dernier-né de la gamme E-pens, qui inclut des versions pour PC et Mac, se présente dans un élégant étui en simili cuir prêt à l’emploi, où l’on glisse des blocs de papier A5 classiques, le stylo numérique à encre fourni et un capteur qui se positionne en haut de page. Côté logiciel, il utilise la version haut de gamme (pro) de la gamme Myscript. Les notes peuvent être transférées via un câble USB ou en Bluetooth et converties en fichier texte, ou envoyées via un BlackBerry ou un smartphone Android. Compatible Windows XP, Vista, Seven, E-pens Digipad Deluxe est disponible au prix conseillé de 199 euros.

Avec Stylus (Urban Factory), on peut la jouer « soft » et s’en servir comme n’importe quel stylo à encre efficace et qui ne risque pas de faire des taches grâce à son bouchon de protection. Mais il s’agit bien d’un gadget IT, doté d’un laser, qui s’utilise également comme un stylet pour naviguer sur les tablettes tactiles et les smartphones. Très élégant dans son habillage d’un noir profond légèrement métallisé et habillé de bagues chromées, ce stylet-stylo se porte éventuellement clippé grâce à l’attache en métal sur le bouchon. Prix conseillé de 29,90 euros.

* Un investissement utile

Contrôler son réseau domestique chez soi ou à distance est la vocation des nouveaux routeurs Cloud de D-Link. Ils permettent d’empêcher la connexion d’appareils non autorisés sur le réseau domestique et, aux parents, de vérifier l’activité Internet de leurs enfants. Dès que ceux-ci se connectent, les parents reçoivent instantanément une notification leur permettant de visualiser sur quel site ils surfent. Ils peuvent même couper l’accès à Internet s’ils estiment que les chers petits n’ont pas consacré assez de temps à leurs devoirs. Ce contrôle se réalise via l’application mydlink depuis n’importe quel navigateur, ou même un iPhone, un iPad ou un appareil Android. Le routeur Cloud Gigabit N300 (DIR-636 L) est vendu à partir de 69,90 euros et le routeur N600 (DIR-826 L) à partir de 129,90 euros.