Multimédia
L’actualité est aux montres qui fonctionnent sous Android Wear, l’OS de Google spécialement conçu pour les objets connectés. Les fabricants coréens LG et Samsung ont ouvert le bal avec la G Watch et la Gear Live (199 euros chacune) au format rectangulaire et aux caractéristiques techniques quasi identiques. La G Watch (63 g) affiche un écran tactile IPS de 1,65’’ (diagonale de 4,2 cm) et la Gear Live (59 g) une dalle tactile Super Amoled de 1,63’’. Elles ne craignent pas l’eau et leur autonomie est d’une journée.
La révolution est venue de la Moto 360 de Motorola (249 euros), la première montre connectée à cadran rond, légère (50 g) bien qu’un peu épaisse, avec un boîtier imperméable et un verre Gorilla Glass résistant aux chocs et aux rayures, un écran LCD lisible même en plein jour de 1,56’’. Outre un cardiofréquencemètre, elle dispose comme les précédentes d’une mémoire de 4 Go pour stocker photos ou musique et son autonomie est aussi d’une journée.
Les réponses n’ont pas tardé, la première signée LG, dont la G Watch R (269 euros) offre un écran Oled tout rond de 1,3’’ (33 mm), confortable et contrasté. On peut la personnaliser grâce à un choix de décors et à des bracelets en cuir ou en métal interchangeables. Elle résiste à l’eau, peut être utilisée comme moniteur pour les activités sportives et son autonomie dépasse la journée.
L’on attend dans les prochaines semaines la Gear S de Samsung (environ 400 euros), au design particulièrement séduisant et qui, grâce à ses connectivités Wi-Fi et 3G, fonctionne comme un smartphone (téléphone, mails, SMS, Web, GPS). Équipée également de plusieurs capteurs d’activité, elle est dotée d’un écran Amoled de 2’’ (5,1 cm) résistant à l’eau et légèrement incurvé pour envelopper le poignet.
Disponible sur le Play Store, la SmartWatch 3 (229 euros) de Sony est aussi la première montre du Japonais sous Android Wear. Mais grâce au Wi-Fi intégré, elle permet de recevoir des notifications, de stocker fichiers et musiques et d’être jumelée avec un casque audio Bluetooth. Elle propose 4 Go de stockage et son autonomie annoncée est de 48 heures. Dotée d’un écran LCD de 1,6’’ de forme carrée, avec un bracelet interchangeable métallique ou silicone, elle vise avant tout le public sportif.
Sortie il y a deux ans et appréciée pour ses fonctionnalités en dépit de son look plastique, la Pebble revient avec un design plus chic (châssis en acier et bracelet interchangeable en métal ou en cuir) sous le nom de Pebble Steel (229 euros). Ses caractéristiques sont à peu près identiques à celles du modèle standard (toujours d’actualité à 129 euros) : un écran e-paper de 1,26’’ non tactile (56 g), une autonomie de 5 à 7 jours en USB (grâce à l’absence de couleurs), une compatibilité sous iOS et Android en Bluetooth 4.0, une étanchéité jusqu’à 50 m.
La belle surprise de cette fin d’année s’appelle Withings Activité, la très élégante montre connectée made in France, deux fois primée aux récents CES Innovation Awards. Bardée des capteurs d’activité du fameux bracelet connecté Pulse de Withings, elle propose un affichage de l’heure avec des aiguilles et un mouvement suisse certifié, un écran en verre saphir incassable et un bracelet en cuir noir ou marron ; le tout dans un boîtier en acier inoxydable noir ou blanc étanche jusqu’à 50 m et alimenté avec une simple pile qui lui confère au moins huit mois d’autonomie. Les amateurs d’un tracker d’activité de haut niveau et de luxe ne s’y sont pas trompés, qui ont épuisé le stock disponible en précommande en quelques jours en dépit des 390 euros à débourser (s’inscrire sur le site de Withings pour connaître les prochaines disponibilités).
DJ et médecin, Vincent Attalin a électrisé le passage de la flamme olympique à Montpellier
Spécial Vacances d’été
À bicyclette, en avant toute
Traditions carabines et crise de l’hôpital : une jeune radiologue se raconte dans un récit illustré
Une chirurgienne aux nombreux secrets victime d’un « homejacking » dans une mini-série