Il n’est jamais trop tard pour bien faire. Opel en administre la preuve. Citadines, compactes, SUV, motorisations diesel et essence, technologie, style, la marque au blitz est présente sur tous les fronts. Et ce n’est pas fini. L’accord paraphé entre General Motors, propriétaire de la marque Opel, et PSA devrait donner naissance à un Meriva inédit ainsi qu’à des clones tricolores.
Afin de briser un tabou, Opel a placé le design au cœur du débat. Fades, les Opel ? C’était vrai à une certaine époque. Ce n’est plus le cas aujourd’hui. L’Astra s’en porte garante. Amincie (120 à 200 kg), assouplie, dotée de trains roulants de qualité, elle affiche un visage épanoui. Sa planche de bord redessinée, son habitacle bien léché, l’arsenal technologique dont elle dispose en font une interlocutrice crédible face à la cohorte des 308, Golf, Leon, Ceed et Mégane.
L’introduction du 1 l Ecotec 105 ch turbo répond à une volonté de proposer des moteurs propres et performants. Il ne met pas pour autant fin à la carrière du diesel, relancée grâce aux 1,6 l CDTI 110, 136 et 160 ch. D’une discrétion étonnante pour un trois cylindres, il compense son déficit de puissance pure par une onctuosité, une élasticité et un confort de roulage bluffants. Avec le concours de la boîte robotisée Easytronic, d’un stop/start et de pneus à faible résistance de roulement, il revendique 4,2 l et 96 g (4,3 l, 99 g avec la boîte mécanique 5).
L’Astra se positionne également en tête de gondole en termes de technologie. L’éclairage Matrix LED, qui améliore de manière spectaculaire la vision nocturne, la caméra Opel Eye, dotée d’une résolution supérieure, l’alerte anticollision et le système OnStar (connectivité, assistance 24/24, localisation de la voiture en ligne, aide en cas d’accident, etc.) font entrer l’Astra dans l’univers du XXIe siècle. Ces prestations figureront d’ailleurs au programme du Mokka X dévoilé au salon de Genève, en mars.
Le Mokka, c’est un peu le porte-bonheur d’Opel. Pas moins de 500 000 exemplaires ont été immatriculés en trois ans. Commercialisé à l’automne, il adopte une tenue plus sexy et intègre la planche de bord de l’Astra.
À l’instar de la berline Astra, désormais épaulée par un break, il hérite du 1,4 l 152 ch turbo essence à injection directe, d’une transmission intégrale adaptative et d’une boîte auto six rapports.
La seule fausse note, c’est l’Adam. Annoncée comme la rivale de l’Audi A1, elle n’a pas vraiment trouvé son public malgré les déclinaisons S 150 ch et Rocks venues compléter l’offre initiale.
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