Dans « Humeur liquide », son précédent documentaire, Rodolphe Viémont s'interrogeait, avec son épouse, bipolaire comme lui, sur leur désir d'enfant et le risque de transmettre la maladie, consultations de spécialistes à l'appui. L'enfant est née, évidemment filmée dès ses premiers jours, et son père, après un post-partum au masculin, signe un nouveau film, « Pour Ernestine », qui tourne autour des interactions maladie psychique/création artistique.
Rodolphe Viémont, diagnostiqué bipolaire et traité comme tel depuis 1996, estime être stable depuis 2011. « Les médicaments m'ont sauvé, mais c'est ma psychanalyse qui m'a fait être à part entière (...) Sans les médicaments je n'aurais jamais pu mener à bien ma thérapie et sans ma thérapie je ne me serais jamais stabilisé. »
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