Victime et témoin de l’horreur du nazisme, Primo Levi (1919-1987) n’a cessé de raconter Auschwitz (sauf dans « la Clé à molette », consacré à la vie en usine, qui lui a valu en 1979 le prix Strega, l’équivalent du Goncourt), tout en cherchant à comprendre, jusqu’à son suicide, les ressorts de l’inhumanité de l’homme. S'il était mondialement connu après avoir publié, non sans difficultés, « Si c’est un homme » (avant « la Trêve »), sa place dans le paysage littéraire n’a pas toujours été reconnue, note René de Ceccatty dans une préface à « Auschwitz, ville tranquille ». En rassemblant pour la première fois dix de ses nouvelles, ainsi que deux poèmes, l’ouvrage illustre la variété des formes littéraires que revêt son œuvre et découvre la palette de ses facettes d’écrivain, du fantastique à la poésie. (Albin Michel, 197 p., 19 €)
Primo Levi par ses écrits
Publié le 11/03/2022
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Source : Le Quotidien du médecin
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