* « La neutralité de la photo de guerre est illusoire. » Démonstration avec « Photographies en guerre » au musée de l'Armée, un parcours de 300 clichés, du siège de Rome en 1849 à la guerre en Syrie. Évolution des techniques, des pratiques (professionnels ou amateurs) et des intentions (informer, convaincre, témoigner…), liberté de la presse. Une exposition sur la représentation du conflit et non sur le conflit lui-même. (musee-armee.fr jusqu’au 24 juillet)
* Même intention avec « Femmes photographes de guerre » au musée de la Libération, 80 photos de huit femmes qui ont couvert les conflits internationaux depuis la guerre d’Espagne, sur le front dans l’horreur et dans l’intimité des familles. Ce sont Lee Miller, Gerda Taro, Catherine Leroy, Christine Spengler, Françoise Demulder, Susan Meiselas, Carolyn Cole, Anja Niedringhaus. (Jusqu’au 31 décembre, museeliberation-leclerc-moulin.paris.fr)
* « Mathieu Pernot. La ruine de sa demeure », 60 photos prises au Moyen-Orient depuis 2019 sur les traces du voyage de son grand-père en 1926, avec les ruines millénaires de Baalbek et de Ninive et celles de villes détruites par les conflits récents, Beyrouth, Homs, Alep, Mossoul. (Jusqu'au 19 juin, henricartierbresson.org)
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