Dix ans après « Myrha Tonic », Dominique Dupart, enseignante et chercheuse à l’université de Lille, revient à la fiction avec un grand roman social, et au-delà un grand contre-roman national. Construit en quatre séquences et avec une écriture multiple – autofiction, épopée, récit d’aventure, enquête sociale –, « la Vie légale » décrit une fresque de personnages dont la vie intime est tributaire des événements nationaux ou mondiaux, au début des années 2000. Des héros et des héroïnes ordinaires qui peinent à vivre dans un monde dominé par le racisme, l’obscurantisme, les États policiers (Actes Sud, 398 p., 22,50 €).
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