Pas suffisamment « bling bling », affirment ses détracteurs. Pour redonner un coup de fouet à la DS4, les designers de DS ont eu l’idée d’en faire un SUV. En soi, l’idée était bonne. Sauf qu’elle s’est heurtée à l’intransigeance des financiers. À l’arrivée, le résultat laisse perplexe.
Jantes noires, calandre type DS5, coques de rétro peintes, barres de toit, tapis de sol, seuils de portières en alu, entourages de roues surlignés sont les seuls éléments visuels distinctifs permettant de distinguer la Crossback de la DS4 classique. C’est vraiment peu face à un Captur, une Volvo V40 Cross Country et même un Peugeot 2008, pourtant pas réputé pour être un joyeux drille. Le 2008 restylé, qui fera ses débuts à Genève en mars, le nouveau 3008 programmé pour le prochain Mondial et, à plus long terme, le SUV orné du logo DS devraient être plus glamour.
En attendant, il faut bien vivre. Si elle n’offre pas de réelle valeur ajoutée en termes d’image, la Crossback n’en est pas moins de bonne compagnie lorsqu’elle est associée au HDI 180 ch et à la boîte EAT 6 Aisin japonaise. Le 2 l 4 cylindres se montre en effet souple et réactif. Mais le surcoût exigé ne se justifie pas franchement.
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