Aux termes de l’accord conclu entre l’Union cycliste internationale (UCI) et l’Agence française de lutte contre le dopage (AFLD), le dispositif antidopage comprend trois phases :
– Avant le départ, au cours du mois de juin, des contrôles inopinés ont été effectués en France et à l’étranger ; aujourd’hui débute la période dite « en compétition », avec les prélèvements sanguins qui seront effectués à Monaco sur les 180 coureurs des 20 équipes engagées.
– Pendant les 23 jours du Tour, entre 300 et 400 contrôles seront menés. EPO et stéroïdes seront spécialement recherchés, ainsi que l’hormone de croissance (jamais repérée à ce jour). Seront prélevés le vainqueur de l’étape et le maillot jaune, ainsi que la cinquantaine de coureurs ciblés en raison des anomalies remarqués sur leurs passeports biologiques.
– Après l’arrivée, les échantillons B congelés seront conservés pendant huit ans, dans l’attente de nouveaux tests susceptibles, explique le Pr Rieu, de relever toutes les méthodes et substances susceptibles d’entraîner une modification des filières métaboliques.
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