VOLVO n’a pas fait dans la demi-mesure avec la V60 hybride diesel rechargeable. À tous les niveaux : performances, contribution environnementale et prix. Cibles de l’opulente suédoise : les chefs d’entreprise et les cadres supérieurs. L’hybride rechargeable, c’est du déjà vu, direz-vous. Exact. Sauf que les Prius, Ampera et Volt associent l’électrique à l’essence alors que la Volvo mise sur le diesel.
Éxonéré de la TVS (Taxe sur les véhicules de société), elle offre tout ce dont un client haut de gamme peut rêver : une finition irréprochable, un compromis performances-sécurité au-dessus de la moyenne, des équipements high-tech et un bilan écologique qui se traduit par une consommation moyenne de 1,8 l et 48 g de C02 en mode hybride ; zéro émission en électrique (autonomie de 50 km).
À l’inverse de Zoe, elle est rechargeable à 100 %, à partir d’une prise domestique 230 V 16 A, en 3 heures 30. En théorie, il est donc possible d’effectuer un Paris-Nice sans escale et sans stress, puisque, une fois les ressources électriques épuisées, on bascule automatiquement en hybride.
Trois modes de conduite figurent au menu : pure électrique, hybride et power. La V60 Plug in dispose en outre d’une transmission intégrale, à la demande, opérationnelle jusqu’à 150 km/h.
Le moteur électrique (70 ch) entraîne les roues arrière et le moteur thermique turbo diesel les roues avant. Les batteries lithium-ion 400 V, implantées sous le plancher du coffre à bagages, sont fournies par Siemens. Au volant, cette sportive aux accents écolos est un pur régal.
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