Paul Signac (1863-1935) est au musée Jacquemart-André. Inspiré à ses débuts par Monet, il est avec Georges Seurat le principal théoricien du néo-impressionnisme, qui dissocie les touches de couleurs. Suivi par Camille Pissarro, Maximilen Luce, Théo Van Rysselberghe, Henri-Edmond Cross, il évolue vers des touches plus colorées, une grande pratique de l’aquarelle pour revenir finalement à l’impressionisme (jusqu'au 26 juillet, musee-jacquemart-andre.com).
Au musée Cognacq-Jay, l’art érotique au XVIIIe siècle autour de Boucher, pour les 250 ans de sa mort, avec ses contemporains Watteau, Greuze, Fragonard (jusqu'au 18 juillet, museecognacqjay.paris.fr).
Un Magritte méconnu au musée de l’Orangerie. Après la défaite des troupes allemandes à Stalingrad, il voit une paix retrouvée et a sa « période Renoir », un style solaire avec une quarantaine de tableaux. Il envoie à André Breton un programme de rénovation du surréalisme aussitôt refusé, ce qui le conduira en 1948 à sa « période vache », provocatrice et cynique (jusqu'au 19 juillet, musee-orangerie.fr).
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