Actuellement, une nouvelle épidémie se répand : chacun râle et sait mieux que l'autre. Même si nul n'est parfait dans le monde politique, médical… pas sûr que ceux qui critiquent feraient mieux. Cela crée une atmosphère toxique dangereuse. La violence monte et je ne sais quand et comment elle s’arrêtera.
Il serait bon que nous apprenions à exprimer nos avis sans imposer. Il y a tant à gagner en communiquant.
Il y a une culture de rébellion et de dépression alors que si nous arrêtions cinq minutes de nous plaindre, nous pourrions vite ébaucher une liste de points positifs de cette crise : retour à l’essentiel, à la cellule familiale, redécouverte de la nature, de la santé comme non évidentes et cruciales…
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Il est parfois utile de prendre de la hauteur avant de parler des médecins généralistes
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Éditorial
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