« Il n'y a pas de plan hôpital, mais il y a les GHT. »
Rachel Bocher (INPH).
« Le président de la République a complètement redéfini les GHT. Est-ce que l'hôpital de proximité va être sous la tutelle du GHT ou est-ce que la gouvernance va être placée en coconstruction avec la CPTS ? C'est une question essentielle. Quand on regarde ce qui se pratique actuellement avec les CPTS déjà existantes, le pouvoir est réparti de façon très variable entre les praticiens qui s'en saisissent. Ce sont souvent ceux qui s'y engagent le plus. Laissons les professionnels s'organiser. Nous n'avons pas besoin de règles précises. »
Jean-Paul Ortiz (CSMF).
« Très bien sur le deuxième recours, mais à condition qu'on aille au bout de la logique GHT avec une personne morale, un chef, un projet médical gratuit. Ces derniers sont une très bonne idée, à condition qu'on les appelle GHP (groupements hospitaliers publics) afin que le partenariat puisse se faire avec tous les acteurs. »
Antoine Perrin (Fehap).
Extraits tirés de communiqués de presse et de l'événement Contrepoint de la santé du 19 septembre 2018.
Série d’été – Ces exercices hors du commun
« C’est un plaisir de médicaliser le Hellfest » : le Dr Pierre Balaz allie médecine et death metal
Indemnisation des accidents médicaux : 186 millions d’euros versés par l’Oniam en 2024
Médecins bénévoles : « Connaître l’état d’esprit des patients très précaires est fondamental pour soigner »
Un cardiologue porte assistance à une passagère en plein vol : « je n’aurais jamais imaginé vivre une telle situation »