En matière de prévention de l’usage de l’alcool et des produits illicites dans les entreprises, « il est très difficile d’avoir un tableau d’ensemble », constate le CCNE. D’une manière générale, certains grands groupes comme EDF ou la SNCF ont mis en place une politique de prévention des risques incluant une sensibilisation à ceux liés à l’alcool et à l’usage de produits illicites. Toutefois, « l’intensité du dialogue social sur le risque de toxicomanie semble très variable d’une entreprise à l’autre », avec une attention davantage focalisée sur le risque d’alcool qui demeure « moins difficile à aborder ». S’agissant des PME et TPE qui relèvent pour la plupart des services de médecine du travail interentreprises, il est encore plus difficile d’établir un état des lieux de l’usage de l’alcool, de produits illicites et de médicaments psychotropes. « C’est sans doute là que les conséquences de la pénurie des effectifs de médecins du travail se font le plus sentir », commente le CCNE.
Des pratiques de prévention très disparates
Publié le 23/05/2011
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : Le Quotidien du Médecin: 8968
CCAM technique : des trous dans la raquette des revalorisations
Dr Patrick Gasser (Avenir Spé) : « Mon but n’est pas de m’opposer à mes collègues médecins généralistes »
Congrès de la SNFMI 2024 : la médecine interne à la loupe
La nouvelle convention médicale publiée au Journal officiel, le G à 30 euros le 22 décembre 2024