– Dans le syndrome coronaire aigu (SCA), la bithérapie associe l’ASA et un inhibiteur du P2Y12, préférentiellement du ticagrelor ou du prasugrel pendant un an.
– Chez le coronarien stable avec antécédent d’infarctus du myocarde (IDM), le traitement antiagrégant se fonde sur l’ASA, voire ASA et ticagrelor selon les résultats de PEGASUS.
– Chez le coronarien sans antécédent d’IDM, l’ASA est de mise, mais il pourrait être associé au ticagrelor si l’essai THEMIS est positif.
– Chez le coronarien avec angioplastie sans SCA, la durée de la bithérapie ASA-clopidogrel pourrait être supérieure à un an selon l’essai DAPT. « La décision doit est individualisée au cas par cas, en fonction du risque thrombotique et du risque hémorragique, qui vont souvent de pair chez ces patients âgés », a indiqué le Pr Philippe-Gabriel Steg.
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