Sous l’action de nombreuses hormones, les liens entre le système digestif et le système nerveux central sont aujourd’hui clairement établis. En effet, grâce aux hormones, les signaux de satiété et de faim sont envoyés au niveau cérébral. D’après les études, les bactéries de la flore intestinale agiraient également sur le système nerveux central en régulant les taux de sérotonine, hormone impliquée dans l’humeur. À l’inverse, une série d’interactions s’opèrent du cerveau vers l’intestin. Ainsi, l’alimentation joue un rôle sur notre cerveau, et inversement. En somme, non seulement les facteurs psychologiques rentreraient en jeu dans les troubles intestinaux et nutritionnels, mais notre assiette pourrait aussi avoir une influence sur nos capacités cognitives, l’autisme ou la dépression.
DOSSIER - Cerveau et nutrition
Des liens clairement établis
Publié le 17/10/2016
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Source : Nutrition
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