La diminution des décès par cardiopathie ischémique a débuté dès la fin des années 1970 pour les moins de 75 ans et au milieu des années 1990 pour les plus de 75 ans. Entre 1990 et 2006, le poids des décès cardiovasculaires dans la mortalité totale est passé de 33,2 % à 28,2 %. Cette évolution positive est attribuée aux progrès réalisés en prévention primaire individuelle, mais aussi collective, à l’amélioration de la prise en charge thérapeutique à la phase aiguë du syndrome coronaire et à la prévention secondaire. En France, entre 2000 et 2006, la mortalité par cardiopathie ischémique a diminué de 25 % chez les hommes comme chez les femmes (1).
(1) « L’état de santé de la population en France - Suivi des objectifs annexés à la loi de santé publique » - Rapport 2009-2010.
CCAM technique : des trous dans la raquette des revalorisations
Dr Patrick Gasser (Avenir Spé) : « Mon but n’est pas de m’opposer à mes collègues médecins généralistes »
Congrès de la SNFMI 2024 : la médecine interne à la loupe
La nouvelle convention médicale publiée au Journal officiel, le G à 30 euros le 22 décembre 2024