Deux nouvelles études mettent en avant les effets délétères des boissons gazeuses et du sucre sur le fonctionnement rénal. La première menée chez près de 8 000 employés de l’université par des chercheurs d’Osaka montre que la consommation d’au moins 2 boissons gazeuses par jour est associée à un risque majoré de protéinurie. Le risque de protéinurie au cours d’un suivi de 2,9 ans en moyenne passait ainsi de 8,4 % pour une consommation nulle, à 8,9 % pour une boisson/jour et à 10,7 % pour au moins 2 boissons/jour. L’autre étude menée chez le rat montre qu’une consommation modérée de fructose augmente la sensibilité à l’angiotensine et augmente la réabsorption de sel.
Semaine du rein de l’American Society of Nephrology, Atlanta, 5-10 novembre 2013
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