Le Royaume-Uni est devenu jeudi le premier pays à autoriser la conception de bébés à partir de l'ADN de trois individus. Or, cette technique à visée thérapeutique demeure controversée. Ainsi, l'approbation du comité d'éthique britannique s'avérait le dernier rempart à franchir avant l'emploi de cette méthode qui consiste à combiner les ADN de deux femmes et d'un homme afin d'éviter la transmission d'une maladie héréditaire maternelle due à une malformation des mitochondries. Alors, permettre des naissances d'enfants en meilleure santé ou premier pas vers l'eugénisme ?
Avec AFP
IHU Méditerranée Infection : des progrès notables mais insuffisants, selon le Hcéres
Chikungunya : l’épidémie en baisse à La Réunion, nouvelle phase du plan Orsec à Mayotte
[VIDEO] Simulateur d’IRM, de la clinique à la recherche
Une santé mondiale sans la première puissance est-elle possible ?