Une étude menée chez la souris par Vincent Prévost, directeur de recherche Inserm, aurait révélé un effet protecteur de la mélatonine contre le risque exercé par le Sars CoV2 sur les cellules endothéliales du système nerveux central. D’autres études menées sur des modèles cellulaires ont montré que la mélatonine inhiberait la liaison de la protéine de pointe du virus au récepteur ACE 2 de la cellule pulmonaire par exemple. Ces résultats à ce stade ne peuvent être extrapolés à l’homme. Et ne doivent pas conduire à la prise préventive de mélatonine. Pour autant le risque cognitif lié au SARS-Cov-2 dans les formes de Covid long est loin d’être négligeable. Ce serait alors un facteur de prédisposition à la survenue plus tardive de maladies neuro-dégénératives. Ce phénomène aurait été observé après la pandémie de grippe espagnole au XXe siècle. Les survivants auraient davantage développé une maladie de Parkinson, comparés à un groupe témoin.
Mélatonine, un effet protecteur chez la souris
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Publié le 30/06/2022
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Source : lequotidiendumedecin.fr
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