C’est une nouvelle plateforme développée par des professionnels du secteur – le groupe GPS, auquel appartient « le Quotidien du Médecin » mais aussi « le Quotidien du Pharmacien », « le Généraliste » et « Décision Santé » – pour des professionnels. Officiellement lancé cette semaine, Santé Connect, réseau social privé, propose aux médecins un espace d’échange confidentiel et sécurisé – seuls des professionnels de santé certifiés pourront y accéder.
Le réseau permet de dialoguer entre confrères (et de bénéficier de l’expertise des uns et des autres) selon des géométries variables (dialogue ouvert ou fermés, à l’intérieur d’une spécialité ou pas...) mais également de recourir, en cas de besoin, aux conseils d’un comité scientifique. Appuyé sur ses sites partenaires, dont lequotidiendumedecin.fr, il propose également à ses utilisateurs une sélection pointue d’actualités médicales.
Mieux gérer son identité numérique
Pour être concret, à la manière d’un Facebook ou d’un LinkedIn, Santé Connect est un vecteur pour étendre son réseau professionnel, obtenir des réponses face à une problématique médicale, échanger dans un espace privé sur les thématiques de son choix (dans le cadre de groupes au choix ouverts à tous ou accessibles sur demande), communiquer sur des événements (et y inviter ses confrères), se tenir informé... Fonctionnalité supplémentaire : le réseau propose à ses membres des conseils pour la gestion de leur identité numérique – la discussion est à ce sujet ouverte directement avec les animateurs.
L’adhésion à Santé Connect est gratuite. Pour les médecins inscrits sur lequotidiendumedecin.fr, elle se fait en une poignée de clics. Un tout petit peu plus pour les autres. Dans les deux cas, c’est sur santeconnect.com que cela se passe.
Transition de genre : la Cpam du Bas-Rhin devant la justice
Plus de 3 700 décès en France liés à la chaleur en 2024, un bilan moins lourd que les deux étés précédents
Affaire Le Scouarnec : l'Ordre des médecins accusé une fois de plus de corporatisme
Procès Le Scouarnec : la Ciivise appelle à mettre fin aux « silences » qui permettent les crimes