Ils courent dans la catégorie des monocoques Class 40
- Bertrand Guillonneau, 51 ans, chirurgien
Parisien d’origine, il a vécu ces dernières années à New York avant de décider de revenir exercer son métier à Paris. Il a participé à de nombreuses courses et court aujourd’hui sous les couleurs de la ville de Douarnenez (douarnenez-poemes-bleus.over-blog.com/). « Je suis la Route du Rhum depuis toujours, c’est une course mythique, qui fait rêver, et qui s’est ouverte aux 40 pieds il y a quatre ans. Je me suis dit que c’était mon tour d’essayer, j’avais très envie de la faire et ai pris six mois sabbatiques pour m’entraîner et y participer. Mon objectif est de faire une course propre, dans le sens où j’ai envie d’être heureux et fier de moi à mon arrivée. Je veux gagner comme tout le monde, mais je reste un vrai amateur, avec le budget et la préparation qui vont avec, mais je m’entraîne pour et vais tout faire pour gagner, sinon, ça ne serait pas une vraie course. »
- Marc Behaghel, 50 ans, chirurgien
Il affiche déjà deux transatlantiques au compteur, dont une en solitaire. Il court sous les couleurs de la ville de Saint-Grégoire (marcbehaghelroutedurhum2010.unblog.fr/). « J’aime le solitaire, et la Route du Rhum-La Banque Postale est la course ultime en solitaire, à laquelle je voulais participer avant que mon âge ne me le permette plus. Je vais essayer de bien figurer parmi les amateurs. Mais ayant un métier à côté, le timing est compliqué, je découvre le bateau. C’est un vrai challenge à la fois personnel et sportif pour moi, la préparation demande beaucoup de temps et il y avait beaucoup de choses à faire sur le bateau. Le solitaire a vraiment une autre dimension que l’équipage. »
- Marc Joly, 44 ans, urgentiste
Régatier et breton dans l’âme, il participe pour la première fois à une transatlantique, aux couleurs de la ville de Binic (jedo.e-monsite.com/). « J’avais envie depuis longtemps de faire une transat, et particulièrement celle-ci, qui est mythique. De plus, la Class 40 permet à des amateurs comme moi d’accéder à de tels événements et d’être à bonne école pour se préparer au fil des rencontres et des courses de son programme. Mon objectif est d’arriver, d’arriver classé, de me montrer à la hauteur de l’aide et de la sympathie de tous ceux qui m’entourent dans ce projet. Et puis, si la route et le temps le permettent, surfer, surfer encore ! »
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