La polémique date depuis 2019 lors du choix de Microsoft comme prestataire pour héberger la plateforme nationale des données de santé (Health Data Hub). Depuis lors, des craintes ont été exprimées par les acteurs sur les risques liées au Cloud Act américain qui met en cause la protection des données personnelles. Bien que les analyses juridiques du ministère de la Santé et du HDH indiquent que dans le cas précis du HDH, le Cloud Act ne s’applique pas, les données étant pseudonymisées, les deux sont sensibles aux enjeux de souveraineté. Le ministre de la Santé Olivier Véran avait d'ailleur promis que la migration de la plateforme aurait lieu avant fin 2022. Tout dépendra des possibilités techniques offertes par l'écosystème du cloud souverain, assure Stéphanie Combes, directrice du HDH, qui dit voir émerger des nouvelles formes d'hybridation séduisantes entre des nouvelles solutions américaines et des solutions européennes. Tout en concédant : « Nous sommes dépendants des acteurs technologiques et nous ne sommes pas à la manœuvre de la création de ces solutions que nous suivons de près. »
Health Data Hub, l'hébergerment sur Azure bientôt remplacé ?
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Publié le 18/08/2022
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Source : lequotidiendumedecin.fr
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