La décision aura été prise juste avant la fin de la présidence tchèque du Conseil de l'Union européenne. Les ministres de la Santé ont adopté le 9 décembre dernier de nouvelles recommandations sur le dépistage du cancer. Outre le dépistage du cancer du sein, du colorectal et du col de l'utérus, mesures prises en 2003, le dépistage inclut les cancers du poumon, de la prostate et de l'estomac. La France est loin d'être un modèle dans ce domaine. La HAS a notamment été très longtemps réservée sur le dépistage du cancer du poumon par scanner avant récemment de faire évoluer sa position. Quant à celui du cancer de la prostate, les positions sont différentes selon les sociétés savantes. En Europe, on enregistre des participations très variables aux programmes selon les pays. En Finlande, 1 % des femmes n'ont jamais participé au dépistage du cancer du sein, à comparer au taux de 76,1 % en Roumanie. La lutte contre les inégalités de santé face au cancer est encore une idée neuve en Europe.
Politique de santé
L'Europe des 27 recommande les dépistages du cancer du poumon, de la prostate, de l'estomac
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Publié le 15/12/2022
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Source : lequotidiendumedecin.fr
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